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Avec 20% de chomeurs en Belgique, on ne peut que difficilement leur en vouloirLa libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
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- passionné
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- Françoise
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
L'Allemagne acceptera à partir de 2011 les travailleurs bulgares et roumains, dans le secteur agricole, pour des périodes de six mois.
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- Insatiable
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Ainsi,ils pourront nous faire une "remake" de la case de l'oncle Tom.C'est vrai que les polonais ne veulent plus ramasser les asperges...Il ne reste plus que les ploucs des Balkans pour s'échiner...
- Chantal
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
les Polonais maintenant sont tous artisans en France, enfin ils l'étaient, ça c'est calmé .
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Si certains pays bloquent l'ouverture du "marché du travail",d'autres l'ouvrent :
Италия отваря пазара за български работници след 3 дни
L'Italie ouvre le marché du travail aux ouvriers bulgares dans 3 jours
Италия отваря трудовия си пазар за българи от 1 януари 2012 г. Това съобщиха от офиса на евродепутата от ГЕРБ Илиана Иванова.В Министерството на външните работи и Министерството на труда и социалната политика е пристигнало официално уведомление от Италия, че страната има намерение от 1 януари 2012 г. да отвори трудовия пазар за български граждани.
Италия отваря пазара за български работници след 3 дни
L'Italie ouvre le marché du travail aux ouvriers bulgares dans 3 jours
Италия отваря трудовия си пазар за българи от 1 януари 2012 г. Това съобщиха от офиса на евродепутата от ГЕРБ Илиана Иванова.В Министерството на външните работи и Министерството на труда и социалната политика е пристигнало официално уведомление от Италия, че страната има намерение от 1 януари 2012 г. да отвори трудовия пазар за български граждани.
- Françoise
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Il y a pourtant une profonde crise en Italie.
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
La crise semble généralisée,et si certains adoptent des mesures contraires aux principes fondamentaux de l'Union Européenne,d'autres préfèrent ouvrir les portes et les fenêtres afin d'aérer une situation sclérosée.
- Françoise
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
L'Italie devrait être l'exemple pour les autres pays.
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- passionné
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Bonjours tout le monde, bonne année!!!
L'Islande vient de suivre l'Italie. A quand le tour de la France!?

L'Islande vient de suivre l'Italie. A quand le tour de la France!?
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Les bulgares n'ont peut-être pas le droit de travailler partout en Europe,mais ceux qui travaillent rapportent....
L’argent des émigrés bulgares, plus que les investissements étrangers en 2011…
par Tania Harizanova
Les émigrés bulgares qui sont partis tenter leur chance à l’étranger seraient les plus gros investisseurs de l’économie bulgare, d’après les données de la Banque nationale de Bulgarie qui annonce le chiffre de 680 millions d’euros d’apports de janvier à octobre 2011, ce qui sur l’ensemble de l’année 2011 dépasserait les 760 millions d’euros. Quant aux investissements étrangers ils représenteraient 740 millions d’euros. D’où vient cet argent de nos compatriotes vivants et travaillant à l’étranger ? D’une partie de leurs revenus, qu’ils transfèrent en Bulgarie pour aider leurs familles ou leurs proches dans le besoin et leur éviter les fins de mois difficiles. Les chiffres de la Banque centrale indiquent encore que les chèques envoyés par les Bulgares de l’étranger augmentent de 8,4% chaque année. Et d’après les données officielles, ils seraient 1,2 millions les Bulgares qui vivraient et travailleraient à l’étranger.
Et la statistique européenne vient confirmer cette situation. En 2010, les Bulgares de l’étranger auraient officiellement versé 760 millions d’euros dans le pays, ce qui range la Bulgarie à la 4e place dans l’Union européenne. D’après EUROSTAT, sans cette sérieuse injection financière, le déficit du compte courant aurait augmenté de 160%. D’un autre côté, et c’est le revers de la médaille, la Bulgarie aurait perdu 5,4% de son PIB à cause précisément des Bulgares de l’étranger qui travailleraient non pas pour l’économie bulgare mais pour celle de leur pays de résidence. Dans le langage des chiffres, l’émigration économique constituerait un sérieux manque à gagner pour la Bulgarie, de l’ordre de 1 milliard d’euros par an. C’est ce qui ressort du rapport annuel de la Commission européenne sur l’emploi. Mais la statistique européenne révèle aussi d’autres données liées à la Bulgarie, notamment le fait que 7% de la population active bulgare travaillerait dans des pays autres que la Bulgarie. La bonne nouvelle est que le flux d’émigrés a tendance à baisser à cause de la récession dans les pays de la zone euro qui perturbe sérieusement le marché de l’emploi. Ainsi les travailleurs migrants bulgares auraient baissé de 18%.
Les chiffres de la direction européenne de la statistique coïncident avec ceux de l’Institut bulgare de la Statistique qui confirme le retour d’un nombre important d’émigrés bulgares au pays. A cause du chômage à la hausse dans les pays occidentaux et la difficulté pour un étranger de trouver un travail décent et bien rémunéré. Car la crise est encore plus forte dans les pays de la zone euro que chez nous. Certains émigrés bulgares viennent passer l’hiver en Bulgarie dans l’espoir de pouvoir repartir au printemps et trouver un job intéressant à l’étranger
Ce sont l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce et la Grande-Bretagne qui accueillent le plus grand nombre de travailleurs bulgares. Ainsi 60% des Bulgares qui travaillent en Espagne seraient propriétaires de leur logement et ¾ d’entre eux n’ont aucune intention de revenir en Bulgarie. La situation est identique avec la diaspora bulgare en Italie. D’après les calculs, les Bulgares de l’étranger enverraient tous les mois un chèque de 190 euros à leurs proches en Bulgarie. 190 euros, c’est l’équivalent de 1,5 SMIC !!!
Deux mots des jeunes Bulgares bardés de diplômes qui, eux aussi, lorgneraient du côté de l’Occident. Et c’est le moment de dire que la fuite des cerveaux est certainement un des processus les plus douloureux pour l’économie bulgare qui continue à alimenter en cadres hautement qualifiés les pays occidentaux. A preuve, les données d’EUROSTAT qui indiquent que 70% des jeunes Bulgares seraient fermement décidés à tenter leur chance à l’étranger…
Source : bnr - version française : Sonia Vaseva
L’argent des émigrés bulgares, plus que les investissements étrangers en 2011…
par Tania Harizanova
Les émigrés bulgares qui sont partis tenter leur chance à l’étranger seraient les plus gros investisseurs de l’économie bulgare, d’après les données de la Banque nationale de Bulgarie qui annonce le chiffre de 680 millions d’euros d’apports de janvier à octobre 2011, ce qui sur l’ensemble de l’année 2011 dépasserait les 760 millions d’euros. Quant aux investissements étrangers ils représenteraient 740 millions d’euros. D’où vient cet argent de nos compatriotes vivants et travaillant à l’étranger ? D’une partie de leurs revenus, qu’ils transfèrent en Bulgarie pour aider leurs familles ou leurs proches dans le besoin et leur éviter les fins de mois difficiles. Les chiffres de la Banque centrale indiquent encore que les chèques envoyés par les Bulgares de l’étranger augmentent de 8,4% chaque année. Et d’après les données officielles, ils seraient 1,2 millions les Bulgares qui vivraient et travailleraient à l’étranger.
Et la statistique européenne vient confirmer cette situation. En 2010, les Bulgares de l’étranger auraient officiellement versé 760 millions d’euros dans le pays, ce qui range la Bulgarie à la 4e place dans l’Union européenne. D’après EUROSTAT, sans cette sérieuse injection financière, le déficit du compte courant aurait augmenté de 160%. D’un autre côté, et c’est le revers de la médaille, la Bulgarie aurait perdu 5,4% de son PIB à cause précisément des Bulgares de l’étranger qui travailleraient non pas pour l’économie bulgare mais pour celle de leur pays de résidence. Dans le langage des chiffres, l’émigration économique constituerait un sérieux manque à gagner pour la Bulgarie, de l’ordre de 1 milliard d’euros par an. C’est ce qui ressort du rapport annuel de la Commission européenne sur l’emploi. Mais la statistique européenne révèle aussi d’autres données liées à la Bulgarie, notamment le fait que 7% de la population active bulgare travaillerait dans des pays autres que la Bulgarie. La bonne nouvelle est que le flux d’émigrés a tendance à baisser à cause de la récession dans les pays de la zone euro qui perturbe sérieusement le marché de l’emploi. Ainsi les travailleurs migrants bulgares auraient baissé de 18%.
Les chiffres de la direction européenne de la statistique coïncident avec ceux de l’Institut bulgare de la Statistique qui confirme le retour d’un nombre important d’émigrés bulgares au pays. A cause du chômage à la hausse dans les pays occidentaux et la difficulté pour un étranger de trouver un travail décent et bien rémunéré. Car la crise est encore plus forte dans les pays de la zone euro que chez nous. Certains émigrés bulgares viennent passer l’hiver en Bulgarie dans l’espoir de pouvoir repartir au printemps et trouver un job intéressant à l’étranger
Ce sont l’Espagne, l’Allemagne, l’Italie, la Grèce et la Grande-Bretagne qui accueillent le plus grand nombre de travailleurs bulgares. Ainsi 60% des Bulgares qui travaillent en Espagne seraient propriétaires de leur logement et ¾ d’entre eux n’ont aucune intention de revenir en Bulgarie. La situation est identique avec la diaspora bulgare en Italie. D’après les calculs, les Bulgares de l’étranger enverraient tous les mois un chèque de 190 euros à leurs proches en Bulgarie. 190 euros, c’est l’équivalent de 1,5 SMIC !!!
Deux mots des jeunes Bulgares bardés de diplômes qui, eux aussi, lorgneraient du côté de l’Occident. Et c’est le moment de dire que la fuite des cerveaux est certainement un des processus les plus douloureux pour l’économie bulgare qui continue à alimenter en cadres hautement qualifiés les pays occidentaux. A preuve, les données d’EUROSTAT qui indiquent que 70% des jeunes Bulgares seraient fermement décidés à tenter leur chance à l’étranger…
Source : bnr - version française : Sonia Vaseva
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- Insatiable
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Pas de discrimination pour les travailleurs bulgares et roumains
Un taux de chômage record préoccupe la Commission européenne qui a déposé un paquet de mesures en vue d’encourager l’emploi, selon la Deutsche Welle. L’Allemagne et huit autres pays européens doivent ouvrir leur marché du travail pour la Bulgarie et la Roumanie. Pour l’heure, seuls 9 pays des Vingt-Sept de l’UE refusent l’accès de travailleurs bulgares et roumains à leur marché du travail. En Allemagne, ils doivent obtenir un permis de travail jusqu’en 2013. La Commission a demandé aux marchés de l’emploi nationaux de faire preuve d’un même comportement envers tous les demandeurs d’emploi, issus de l’Union, a déclaré au Parlement de Strasbourg, le commissaire à l’emploi, aux affaires sociales et à l’inclusion Laszlo Andor.
Un taux de chômage record préoccupe la Commission européenne qui a déposé un paquet de mesures en vue d’encourager l’emploi, selon la Deutsche Welle. L’Allemagne et huit autres pays européens doivent ouvrir leur marché du travail pour la Bulgarie et la Roumanie. Pour l’heure, seuls 9 pays des Vingt-Sept de l’UE refusent l’accès de travailleurs bulgares et roumains à leur marché du travail. En Allemagne, ils doivent obtenir un permis de travail jusqu’en 2013. La Commission a demandé aux marchés de l’emploi nationaux de faire preuve d’un même comportement envers tous les demandeurs d’emploi, issus de l’Union, a déclaré au Parlement de Strasbourg, le commissaire à l’emploi, aux affaires sociales et à l’inclusion Laszlo Andor.
Il semblerait que la Commission ai décidé de mouiller le "maillot" pour les péquenots balkaniques.. ![]() |
- Françoise
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Pour l'instant ce n'est qu'une demande...
- zombaia
- чирак
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Oui, espérons que ça va changer bientôt! J'en ai marre de tous qui me dissent qu'avec mon Master 2 je peux pas travailler en France car j'ai un passeport bulgare!
C'est un truc de fou ça! Puis c'est dingue comment tous les immigrés du Maroc, Algérie, Pakistan et les autres pareils profitent bien pour venir avec leurs grandes familles ou seulement l'homme travaille et les autres vivent avec les aides de l'Etat.....Ils refusent des gens comme moi avec de diplômes, spécialisations et plusieurs langues parlées et ils acceptent les arabes et les noirs. Je ne suis pas raciste, pas du tout mais je suis contre la discrimination autorisée. La France doit ouvrir son marché du travail pour nous car les bulgares veulent travailler et payer leurs impôts! En France il y a de travail mais les Français ne veulent pas occuper certains postes, par contre il y a beaucoup de Bulgares et Roumains qui pourraient venir et remplir les créneaux et certainement ils en seront contents.

- Françoise
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Une amie bulgare m'a dit la même chose hier au téléphone.
Elle avait l'intention d'écrire aux candidats à l'élection présidentielle...
Elle avait l'intention d'écrire aux candidats à l'élection présidentielle...
- Chantal
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- Zodiaque :
Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
j'ai un ami Russe, musicien virtuose, qui a dû galérer dix ans pour obtenir la nationalité, je crois qu'on a une réticence pour les gens de l'est. Pour les autres si on ne le fait pas on est racistes, tout simplement et oui Zombaia a bien raison de vouloir écrire !
- Françoise
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Re: La libre circulation en Europe. Réealité ou fiction ?
Je ne sais pas si Zombaia a écrit ou va écrire. C'est une amie à moi qui m'a dit qu'elle allait écrire.Chantal » samedi 21 avril 2012 16:12 a écrit :[...] oui Zombaia a bien raison de vouloir écrire !
